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nos vies comme des brouillons (Wajdi Mouawad)

© Junku Nishimura x Bernard Heidsieck © Françoise Janicot

Shannon Wright ft. Yann Tiersen – Something to live for « Tu vois ce que je peux faire avec les mots, je peux faire ce que je veux avec les mots, c’est n’importe quoi, il vaut mieux fermer sa gueule et ne rien dire, on dit toujours des conneries, comme l’autre fois, au téléphone, est-ce que tu penses toi que je voulais t’insulter, est-ce que tu penses, toi, que je...

song from under the arches (Marc Perrin)

Gravenhurst – Song from Under the Arches « Ils disent : la vie à venir ne nous intéresse pas. Le présent est notre seul lieu. Ils disent qu’ils ont besoin d’espaces pour vivre. Ils disent : nous avons besoin d’espaces pour que notre présent puisse avoir lieu. Ils disent : nous cherchons un lieu mouvant : nous cherchons un lieu toujours en mouvement : un lieu : comme sans cesse hors de lui...

un guide de non-expédition pour branquignoles oui pourquoi pas

les petits polaroids retrouvés, Islande oct. 2013

J’ai fait de plus loin que moi un voyage abracadabrant il y a longtemps que je ne m’étais pas revu me voici en moi comme un homme dans une maison qui s’est faite en son absence je te salue, silence je ne suis pas revenu pour revenir je suis arrivé à ce qui commence Gaston Miron, L’homme rapaillé, « Liminaire » Songs: Ohia – Nobody Tries That Hard Anymore (live) hier...

21 février, 18h25

21 février, 18h25

Pain-Noir – Pareidolia (continent Nouveau)

« De l’île, tout nous paraissaient alors
Comme si le monde était mort sans plus se soucier de nous. »
Pain-Noir, De l’île

12 février, 18h59

12 février, 19h59

Godspeed You! Black Emperor – Sleep « La plume oublie la chair. Comme un oiseau de mer, je fuis au large, tantôt battant de l’aile, tantôt glissant infiniment. Je scrute une immensité bleue que brise le saut des poissons d’or. Je rêve à des îles et me souviens de migrations anciennes. Où va la chair ? Juste une tache blanche que fait le cœur quand il s’arrête...

« je suis le danseur étoile, ma sœur est la ballerine, nous ne faisons plus aucun poids, nous volons en l'air, c'est une des jubilations de l'enfance de pouvoir se transformer en plume. » —Hervé Guibert

DANS LES CARNETS

à propos du silence de Larmes (largo di molto)