en lisant à peine perdue : abandon
Tindersticks – Marseilles sunshine (Live in London 2010) ↑ il y avait cela en résonance entre les murs↑ et puis j’ai relu le texte et s’est mélangé ce qu’il y avait juste avant dans le crâne, à savoir ça : and I know you’re hurting and I can’t be there for you and I know you’re hurting and I can’t be there no more I had shoes full of...
où tu ne reconnais pas ton visage
Mrs Good – I don’t know who I am today il n’y a pas que la démultiplication. dimanche soir, l’ami qui dit « tu as maigri ? tu as bonne mine ». J’ai peu dormi, encore des vapeurs d’alcool qui passent à travers chaque pore. J’ai quasiment pas mangé pendant quatre jours. Je lui réponds que non. Je suis au stade trente-huit de la fatigue, j’en chie, je...
allegoria
colours are dead #pointhautdeforme #pointlune (Sergueï Essenine)
Jack the Ripper – White men in black
« La lune est morte, L’aube bleuit la fenêtre.
Ô nuit, Nuit, que m’as-tu donc conté ?
Je suis là, en haut-de-forme, Et à part moi,
personne,
je suis seul. Et mon miroir est brisé. »
Sergueï ESSENINE
God is myth, man is meat, white men are black. We’re too many I know not to live in the shadow of the highest trees of our dreams
dans cette nui là noire le vent (Hervé Guibert)
Autechre – VLetrmx (Garbage EP, 1995) Plus les années passent, plus notre visage rétrécit dans la glace, au point de devenir un jour une tête d’épingle à la Giacometti. < ALAIN VEINSTEIN Retour. Entendu la voix de mon père au téléphone, et pour la première fois entendu la voix d’un vieil homme. L’envie de pleurer. < HERVÉ GUIBERT, MES PARENTS ...
שׂדה
Angelo Badalamenti x Ohad Naharin x Batsheva Dance Company x Maxim Waratt — Diane and Camilla (Mulholland Drive OST) שׂדה vient d’une racine au sens de s’étendre, champ, terre, champ cultivé, territoire, demeure des bêtes sauvages, plaine versus montagne, terre versus mer. trouvé 333 fois dans 309 versets de 30 livres de l’Ancien Testament où il a été traduit par champ...
la nourriture des méduses #vidéo
hold on #pointlune
un songe.
Philip Glass – Violin Concerto II Carnets de route La Havane, Cuba, Juillet 2011 Cuba et cette impossibilité de dire. Si j’ai aimé, si c’est la fatigue, le décalage, si j’ai jamais su décerner le vrai du faux, et le soleil qui burine les crânes et le rhum qui coule à flots. Alors se laisser porter au gré des rues, vite, plus vite encore, monter des escaliers, passer des...