nuit agitée sans sommeil hier. Comme tous les soirs je laisse les fenêtres grandes ouvertes, l’été n’a pas fini de venger le printemps cette année. Mais l’air humide, les cheveux hirsutes, frisés, c’est l’air de la mer qui revient dans la chambre. Aucun nuage à l’horizon et pourtant on devine la brume qui s’apprête à amarrer d’ici peu, là, demain...
7 octobre 2010
all those places where I recall memories
07octobre