Max Richter – A place we were « blancheur à l’arrêt comme un paquet d’air sur la nuque. (…) tu es là, tu manques. » André Du Bouchet, Retours sur le vent « Décrochements cassant la ligne du soleil, façades flanquées d’encorbellements, murs boursouflés ou de guingois, les asymétries des très vieilles villes nous ressemblent, à nous pauvres humains. Est-ce pour ça qu’on...
sur une faille que —
. c’est sur une faille que — s’il se peut, chaque fois on retrouve pied.* Oiseaux-Tempête feat. G.W.Sok – Ütopiya / On Living . draps, comme tu t’en arraches, eux-mêmes hors de leur lit d’orage pour se retrouver dehors ou dedans. . en toi l’espace fendu est de nouveau entier. _crépuscule : lumière qui éclabousse les murs dans un dernier soubresaut _rêve : de corps dansant (encore)...
friable au souffle
Alif – Al-Juththa (The Corpse) _il y a cette tension permanente entre la noirceur du monde et la douceur qu’on tente (un peu trop mollement) jour après jour d’y apposer. Entre, le silence. Et ces morceaux lancinants qu’on écoute en boucle jusqu’à l’épuisement, se rêvant en train de danser sans fin au milieu d’une assemblée enfumée qui veillerait tard dans...
26 novembre, 17h45
(ce monde étant bien trop fou, je me réfugie dans la beauté du soir) La vie manifeste – Dans le noir du temps, une nuit Pasolini « On aura beaucoup dit et écrit sur Pasolini. Sa joie ou sa tristesse. Nous voudrions tenir ensemble et sa joie et sa tristesse. Sa joie et sa tristesse tiennent peut-être à ceci : qu’il ne se sera jamais consolé de rien. Pasolini aura aimé son époque. Il...